La dinanderie
La dinanderie est une technique de travail du métal ancienne par martelage que les Marocains ont su s’approprier. Ils en font aujourd‚hui des objets et des meubles très prisés, sous la houlette de designers passionnés.
Dans un atelier, ce qui apparaît, au premier abord, comme des bruits de marteau, devient vite à l’oreille qui veut bien y prêter attention, un petit concert de maâlems marteleurs. Les coups de marteaux sont en effet donnés selon une partition bien réglée. Un, deux, trois, coups francs, puis un léger, comme un rebond, Un, deux trois, puis un, et la partition change, un, deux trois, quatre et un. Cette musique, les artisans l'écoutent attentivement et adaptent la partition, au fur et à mesure de l’évolution de leur morceau.
Somptueux, mystérieux et lumineux, les lustres, portes et jamours, reflets de l’art du bronze et du cuivre, ornent de plus en plus de résidences et édifices.
C’est la dinanderie qui ajoute à l’élégance de l’architecture marocaine et fait concurrence à la ferronnerie.
Elle ponctue également le quotidien avec des objets plus courants tels que luminaires, plateaux, théières, bouilloires, plus éblouissants les uns que les autres. À Fès et à Marrakech, on assiste à la naissance d’artisans d’excellence qui, avec de sublimes ajourages, travaillent le cuivre tels des orfèvres.
Dans un atelier, ce qui apparaît, au premier abord, comme des bruits de marteau, devient vite à l’oreille qui veut bien y prêter attention, un petit concert de maâlems marteleurs. Les coups de marteaux sont en effet donnés selon une partition bien réglée. Un, deux, trois, coups francs, puis un léger, comme un rebond, Un, deux trois, puis un, et la partition change, un, deux trois, quatre et un. Cette musique, les artisans l'écoutent attentivement et adaptent la partition, au fur et à mesure de l’évolution de leur morceau.
Somptueux, mystérieux et lumineux, les lustres, portes et jamours, reflets de l’art du bronze et du cuivre, ornent de plus en plus de résidences et édifices.
C’est la dinanderie qui ajoute à l’élégance de l’architecture marocaine et fait concurrence à la ferronnerie.
Elle ponctue également le quotidien avec des objets plus courants tels que luminaires, plateaux, théières, bouilloires, plus éblouissants les uns que les autres. À Fès et à Marrakech, on assiste à la naissance d’artisans d’excellence qui, avec de sublimes ajourages, travaillent le cuivre tels des orfèvres.
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